Le fonctionnement, l’administration et la gestion d’un registre de sécurité papier dans un ERP (établissement recevant du public) ou un IGH (immeuble de grande hauteur) impliquent de nombreux coûts cachés ou induits que la dématérialisation peut résoudre.
Les communes, les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI), les départements ou les régions, regroupés sous le nom de collectivités territoriales, sont des administrations assurant la gestion de bâtiments publics dont la destination et les usagers sont très variés. En effet, au sein de ces établissements recevant du public, on retrouve des écoles, des bibliothèques, des piscines, des installations sportives, des mairies, etc. Pour chaque type de bâtiment, il existe des contraintes différentes de sécurité, de santé, d’hygiène, de protection contre l’incendie ou d’accessibilité. Le suivi de la réglementation adaptée et des registres obligatoires nécessite une rigueur que le pilotage central et que la distribution sur le territoire rend complexe. Pourtant le respect de ces règles est un enjeu important pour la protection du personnel, du public, des biens et du patrimoine.
Or, la responsabilité du suivi revient le plus souvent aux services techniques ou au gestionnaire des bâtiments publics qui est confronté à la fois à la distance, au nombre et à la variété des sites et des locaux, mais aussi à la pluralité des interlocuteurs et intervenants.
Par rapport à une version dématérialisée, les sources de perte de temps sont nombreuses avec un registre de sécurité papier traditionnel :
Le registre de sécurité numérique est une solution qui permet notamment de dématérialiser les actions et d’automatiser des fonctions.
Un accès à distance qui élimine notamment les déplacements administratifs, des textes réglementaires intégrés et régulièrement mis à jour, des tableaux de bord et une synthèse générés en quelques clics, le registre de sécurité dématérialisé réduit ou élimine les coûts.
Parmi les coûts induits par la difficulté à suivre tous les contrôles périodiques ou la formation du personnel, le prix des interventions exceptionnelles des prestataires est rarement pris en compte. Or, la plupart des contrats de maintenance ou de formation ne prévoient pas un contrôle d’urgence du matériel, des travaux réalisés en catastrophe ou la dispense rapide d’une formation oubliée.
Le défaut d’automatisation des vérifications périodiques et des formations implique des oublis, des retards, voire des observations ou pire. C’est alors que les prestataires sont sollicités en urgence au risque d’un avis défavorable ou en réponse à des prescriptions. Les factures hors contrat augmentent.
La dématérialisation du registre de sécurité incendie permet d’automatiser les contrôles périodiques des équipements et des installations, la programmation de la formation ou les dates d’exercice incendie. Alertes et notifications éliminent les risques d’oublis et les interventions d’urgence.
N’oublions pas l’objectif principal du registre de sécurité incendie qui est de garantir la protection des individus et des biens en cas d’incendie ou de panique grâce à une parfaite prévention. Or l’un des principaux coûts que peut engendrer la non-conformité de certains contrôles obligatoires d’équipements ou d’installations est le dysfonctionnement des systèmes d’incendie. Détection défectueuse, extinction automatique en panne ou système de sécurité incendie pas opérationnel peuvent être à l’origine de sinistres importants, non détectés.
Il s’avère difficile d’estimer les coûts importants d’un incendie lié à la non-conformité. Un personnel mal formé à la manipulation des extincteurs, une évacuation mal maîtrisée et ce sont des vies mises en danger et des dégâts désastreux pour une entreprise. Impossible de mesurer le coût de la mise en danger du public, de la perte de productivité ou de la dégradation d’un outil de travail.
Il existe également des coûts non cachés liés à la non-conformité. Un avis défavorable de la Commission peut aller jusqu’à la décision de fermeture de l’établissement et les pertes d’exploitation associées. Des sanctions pénales, civiles ou administratives peuvent être liées à des dossiers incomplets, une mauvaise tenue du registre, des contrôles absents ou des normes non respectées. Sans compter les éventuelles amendes qui accompagnent ces sanctions.
Il existe également des coûts non cachés liés à la non-conformité. Un avis défavorable de la Commission peut aller jusqu’à la décision de fermeture de l’établissement et les pertes d’exploitation associées. Des sanctions pénales, civiles ou administratives peuvent être liées à des dossiers incomplets, une mauvaise tenue du registre, des contrôles absents ou des normes non respectées. Sans compter les éventuelles amendes qui accompagnent ces sanctions.
Le prix de l’investissement dans un registre de sécurité dématérialisé comme BatiFire est simple :
L’automatisation des tâches, l’intégration de la réglementation, le pilotage des prestataires et des utilisateurs, la gestion multisite à distance, etc. vous permettent de réduire vos coûts et d’obtenir sérénité et un formidable retour sur investissement.
BatiFire propose bien plus que des registres de sécurité dématérialisés et la possibilité de l’administration ou de la gestion de nombreux autres dossiers et documents sur la même plateforme. En investissant dans l’offre « Optimisée » ou « Prémium », vous profitez de modules supplémentaires (DUER, carnet sanitaire, permis feu, ICPE, amiante, etc.). Jusqu’à 14 modules intégrés et l’assistance de l’Intelligence Artificielle pour faciliter l’intégration des rapports et des procès-verbaux.
Ajoutez à cela la fonction gratuite « Secours ». Une solution qui offre la possibilité de connecter les bâtiments aux services de secours. Sapeurs-pompiers, service de police, gendarmerie peuvent alors disposer facilement, en toute sécurité et à distance d’informations essentielles sur les établissements référencés. Une fonctionnalité qui contribue à sauver des vies et des biens.
